Entre 1970 et 1995, le chrysotile a été ajouté dans les enrobés, ce qui a permis notamment de renforcer la résistance mécanique et d’éviter la formation de fissures par remontées.
La réglementation explique que les enrobés routiers sont considérés comme des immeubles par nature, et non des immeubles bâtis, et ne sont donc pas concernés par les repérages amiante définis par le Code de la Santé Publique.
Cependant les articles L4531-1 et L4431-1 du Code du Travail prévoient un repérage avant travaux, mais aussi une évaluation des risques d’exposition à l’amiante. Sont également à prendre en considération la loi du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels,, et la circulaire du 15 mai 2013.
http://www.chantiersdefrance.fr/marches/desamiantage-casse-tete-enrobes-bitumineux/